Le forum des ULM, et des ELA, LSA, VLA, et de tous les autres aéronefs biplaces et monoplaces légers

Salut Claude,

Ben non, c'est "one way ticket".
Et comme pilotaillon de plaine également, je ne m'aventure pas sans instructeur et même comme ça, c'est pas toujours sans risque
Ici on était avec un Tecnam P92 de Sallanches.
@+
Marc

Je n'ai pratiqué que Megève en avion.
Il fallait être bien positionné dès le début du circuit, en fin de vent arrière, on pouvait encore s'échapper, en base je me rappelle plus, mais en finale : hors de question.
J'ai eu connaissance d'un qui avait essayé, il a fini dans le toit du hangar.
Peut être qu'un ULM qui grimpe fort le pourrait ? , mais pas sur..
En tous cas, mon avis est qu'il ne faut surtout pas s'y essayer seul. (je veux dire sans instructeur qui connait la plate forme.).
Et puis, il faut aussi y arriver à l'altisurface, y'a souvent des cols à passer...

surtout pas de remise de gaz !!


la montagne monte plus vite que l avion !!

mon credo: tu pose ou tu casse !

Donc pas d improvisation.

Roudoudou a écrit :Bon, allez, la mienne
https://m.youtube.com/watch?v=ta1dekPXres
Une petite à faucon du coup
https://m.youtube.com/watch?v=NExM8CdJ3ls

hello
J'aime bien le seconde ..... ça brasse bien au roulage
C'est certain que de tels terrains ça ne s'improvise pas
Peux tu nous faire les mêmes avec badin et vario en sur-impression sur l'écran
Dominique .... de la plaine et de la mer (chut : j'ai peur au dessus de l'eau) et exigeant avec cà

Claude Nowak a écrit :Question d un petit pilotaillon de plaine: dans toutes ces vidéos, j ai l impression qu on doit pouvoir faire une remise de gaz en cas de problème? J ai bon?
Marc: tu étais avec quelle machine?

Pas trop d'accord avec ce qui a été dit concernant la remise de gaz.

Bon, c'est clair que si on est 5M m au dessus de la piste, c'est souvent trop tard mais on peut souvent dégager à droite ou à gauche.

Même à Megève y'a moyen de faire demi tour mais c'est clair que faut pas être trop bas non plus sinon c'est dead.

Je suis admiratif de vous, pilotes de montagne qui les traversez avec un petit Rotax. Je suis comme Dominique: j ai aussi peur de l eau. Je pense que je vais me mettre à la pétanque et encore, ça peut te tomber sur un pied. Reste le tarot.

@ MarcB,
Petite question de béotien, sur ta vidéo, on te voit remettre légèrement les gaz en finale..et les garder, et ce, même après le toucher....
Ma question est donc la suivante: Why??

Salut kawa,
Deux raisons:
- tu dois arriver tangentiellement à la pente, donc à l'arrondi tu remets un peu de gaz pour remonter avec la pente. Tu arrives en finale avec un vario négatif (et pour moi, c'est le plus dur car t'as l'impression du contraire et tu as peu de repaires) et à l'arrondi tu dois repasser à un vario positif pour venir lécher la pente
- tu dois arriver en haut, donc tu gardes les gaz. C'est c.. de rester calé dans la pente

Les spécialistes t'en diront beaucoup plus que moi. Je ne fais qu'appliquer ce qu'on m'a appris.
C'est vraiment pas inné ces trucs là pour un pilotaillon de plaine (même si j'aime l'eau, moi )

Marc

Petite explication d'H. Giraud :

https://www.youtube.com/watch?v=q92akKBtVnA

du moins si je me souviens bien ...

Çà se voit pas forcément sur les vidéos, mais la plupart du temps, c'est pas un faux plat pour cyclistes du dimanche. Ça penche réellement.

Roudoudou a écrit :

Claude Nowak a écrit :Question d un petit pilotaillon de plaine: dans toutes ces vidéos, j ai l impression qu on doit pouvoir faire une remise de gaz en cas de problème? J ai bon?
Marc: tu étais avec quelle machine?

Pas trop d'accord avec ce qui a été dit concernant la remise de gaz.

Bon, c'est clair que si on est 5M m au dessus de la piste, c'est souvent trop tard mais on peut souvent dégager à droite ou à gauche.

Même à Megève y'a moyen de faire demi tour mais c'est clair que faut pas être trop bas non plus sinon c'est dead.

voilà, tu l as dit. une humble précision.

Une remise de gaz , en général, c'est au mieux à 200 ft du seuil, au pire à 5 m du sol . Et là, en montagne, c'est "chaleur et lumière" quelque soit la config.
La décision d'y aller, on l 'a prend bien avant, bien plus haut: ce n'est plus une remise de gaz : c'est un dégagement dans la vallée, dans la meilleure pente dans une configuration qui est encore du "lisse".

Petite précision encore, bien rappelée par Henry Giraud, si ça dégueule un peu en seuil de piste, il vaut mieux avoir de la réserve et que ça brasse dans du dur et pas dans le yaourt selon son expression
Marc

Korn a écrit :Petite explication d'H. Giraud :

https://www.youtube.com/watch?v=q92akKBtVnA

du moins si je me souviens bien ...

C"est vrai qu'il s"y connaissait en tire-bouchons (au pluriel) ,henri Giraud .

Giraud :

Esprit libre , rebelle , un savoir-faire pittoresque ,

http://www.afpm.fr/giraud/hgiraud.htm

meci Monsieur Giraud .