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Bonjour
Cela arrive aussi a des pilotes qui font une remise des gaz tardive , et qu'ils cherchent a monter avec une vitesse anémique , l'avion commence a se dandiner sur les ailes , le pilote corrige par habitude avec les ailerons , alors qu'il devrait corriger au palonnier , Trés peu de pilote vont pratiquer du vol trés lent, cabré le tenir au moteur , en altitude . Aprés avoir poser générateurs de vortex , il faut les tester dans les extremes .
Le pilotage instinctive pieges souvent des pilotes experimentés . Ausi dans un décrochage dynamique . trop de pilotes pensent que le décrochage est lie uniquement a la vitesse , c'est l'angle d'attaque du vent relative on peut décrocher en survitesse .

https://youtu.be/wWrG3_YqGZc

/wWrG3_YqGZc

Bonsoir
Merci bien c'est très instructif.
Bonne nuit.
Luc

C'est de la folie de voler comme ça... A cette altitude, pied ou manche ça finit pareil.
Il faut oublier ça.
Le vol lent avec un hélico, oui, mais avec des ailes, ça finit souvent comme ça, et bien souvent bien pire (dans la boite ...).

Les pompes funèbres sont ravies, si plusieurs cercueils, elle se régalent.

Bonjour
Tiens ça me rappelle que dans les année 90 j'avais fabriqué un indicateur d'incidence électronique qui avait eu les honneurs
de plusieurs revues aéronautiques et les félicitations de la FFPLUM et seul 2 pilotes d'avions avaient été intéressés.
Il me permettait d'arriver à vitesse minimum à l'atterrissage en sécurité.
Avec un arduino ça serait plus simple à refaire.
Bonne journée.
Luc

Le vol au second régime, comme pratiqué sur cette vidéo, est enseigné aux USA et fait partie du test pour l'obtention du brevet de pilote.
Bien entendu, les avions utilisés ne peuvent pas atteindre une telle incidence. L’appellation US est le slow flight

https://en.wikipedia.org/wiki/Slow_flight

On peut l'utiliser en tour de piste avec les volets baissés. La vitesse de l'avion est contrôlée par l'incidence et l'altitude par la puissance. La sirène de décrochage doit être en marche pendant toute la durée du test. On pratique même des altérations de cap, à très faible inclinaison, avec les palonniers. Cela demande juste un peu de pratique.
Pour sortir de cette phase de vol, il suffit de baisser le nez de l'avion et d'augmenter la puissance du moteur, s'il en reste.
Sur la vidéo on voit clairement qu'abaisser l'aileron fait décocher l'aile. Le pilote s'attend à ce que l'aile se redresse, mais c'est l'inverse qui se produit. Ce n'est pas la traînée qui occasionne cela mais l'augmentation d'incidence sur une aile déjà décrochée. Si cela s'était produit à une altitude supérieure, une vrille serait apparue.

Je me suis souvent demandé comment en faire un (d'indicateur d'incidence), mais mécanique. C'est possible?

Merci.

Luc84 a écrit :...
Avec un arduino ça serait plus simple à refaire.
...

Je peux contribuer à la programmation de celui-ci (même si ce n'est pas mon domaine de programmation)

Je viens d'en trouver un dans mon armoire.

Il y avait des signaux sonores soit sur le buzzer soit dans le casque et en plus une led très lumineuse réglée par un capteur
de lumière.
Les potards en bas à droite servaient à régler le volume puis les deux seuils d'alertes un signal alternatif pour le premier
et continu pour le deuxième. Il suffisait de voler entre les deux pour respecter l'incidence d'approche.
Le capteur se fixait n'importe où car on le réglait de l'intérieur du cockpit. Sur la moto du ciel il était sur le côté du carénage.
C'était un capteur de luminosité avec une led en face, qui était plus ou moins caché par un masque relié à la palette en carbone.
Le seul problème détecté était que la luminosité de la led émettrice était sensible à la température donc à chaque changement
de saison je devais re-étalonner le système. Avec les heures de vol je me suis ensuite passé de ce système qui avait un certain
succès auprès des pilotes qui le remarquaient sur ma machine.
Bonne journée.
Luc

Il y a 30 ans, les ingénieurs de l'usine SZD qui fabriquaient des planeurs en Pologne on conçu un dispositif tellement efficace qu'il a reçu un prix de l'OSTIV en 1991, l'avertisseur de décrochage, SP-3. Il a été certifié par la suite. Les opinions des utilisateurs sont enthousiastes...
... mais pas les ventes, et il reste tout à fait confidentiel.
Cherchez l'erreur...

Je veux pas faire dans le morbide mais certaines vidéos d'accidents peuvent avoir une valeur pédagogique, plus qu'un rapport écrit.

Cet accident de décrochage dynamique malheureusement tragique laisse un moment penser que l'avion est sorti d'affaires. Mais semble-t'il un léger coup de profondeur en virage le fait décrocher.
https://www.youtube.com/watch?v=7QWVRgLMc7A

Dans celui là, on voit le pilote (avec instructeur dixit youtube) contrer au manche l'inclinaison de l'avion alors que le badin est faible et l'incidence importante...jusqu'à décrocher. Et personne ne se rends compte de rien avant. C'est ce qui rend je trouve notre loisir dangereux étant donné que bien des dangers peuvent passer inaperçu si on est focalisé sur autre chose
https://www.youtube.com/watch?v=tt9sR-F9RmU

Je ne comprends pas cette histoire de vol lent (parait t'il aux USA).
Voler trop lentement à proximité du sol est mortifère, il n'y qu'a consulter la liste des morts.
Bien sûr, il faut apprendre les limites de l'appareil, et ils ne sont pas tous pareils, mais en altitude.
Quant à piloter l'inclinaison "au palonnier", j'ai jamais appris ça. C'est juste pour contrer une entrée de vrille. A faible vitesse, le palonnier met de la dissymétrie, et donc favorise le déclenchement.
Faire une approche et une finale avec l'avertisseur qui hurle ... c'est du suicide. A la moindre rafale, ça part.
Le vol au second régime ne signifie pas voler au ras du décrochage. Les gros font leur finale avec une vitesse inférieure à la vitesse de fisse max, mais loin du décrochage. De plus, ils ont sorti des hypersustentateurs très efficaces (slats et flaps).
C'est mon avis.

Yankeeromeo a écrit : ...
Les opinions des utilisateurs sont enthousiastes...
... mais pas les ventes, et il reste tout à fait confidentiel.
Cherchez l'erreur...

Manque de pub sans doute ...

Marc

Bonjour

Ne pas confondre les vidéos de Valdez ou la compétition est atterrissage et décollage trés court ,ou les pilotes vont aux etremes de leur avion .
le pilote regarde trés peu sa vitesse il n'as pas d'alarme de décrochage ni indicateur d'angle il pilote au fesse il surveille la ligne tracer sur la piste et essaie de toucher au bon endroit il maintien son avion au moteur qui serait en décrochage .
Pour faire un atterrissage le plus court possible dans un champs c'est la méthode tu rentre avec du moteur cabré et tu le tiend en basse vitesse ,la partie délicate c'est au moment que la roulette touche cela baisse encore la vitesse et souvent le train principale et trop haut de terre cela sollicite fortement le train atterrissage (j'ai plier en banane les deux tubes du train du Jodel ) les nouveaux tube j'ai augmenter la longueur de 10 cm .
Inutile de pousser dans les extrémes de la vidéo du post ,il y a moyen de rentrer court raisonnablement sans aller jusque la .
J'ai vue des avions se planter , juste aprés une remise des gaz de la même façon décrochage sur une aile , parceque le pilot en'as pas fait les actions apropriés
et j'essaie de mettre en conscience les pilotes , que une correction d'inclinaison aux ailerons a faible vitesse ,n'est pas la bonne façon ,aussi un pilote doit apprendre a détecter les signes que son avion est trés proche du décrochage , pas besoin de regarder la vitesse , ni avoir des alarmes qui font juste énerver le pilote . La sensation du vol lent ou basse vitesse se pratique a une hauteur confortable .Une fois sortie de l'école pendant parfois plus 1000 heures le pilote ne fait ni décrochage, ni vol lent il adopte une facon de voler standard dans sa zone de confort , et c'est la que il pilote instinctivement ..


Un ULM rotax 912
https://youtu.be/5ccYFqY4Ymg

/5ccYFqY4Ymg

Marc B a écrit :Manque de pub sans doute ...

Ben, non.
Au moment donné, on en a beaucoup parlé, mais mes camarades vélivoles trouvaient le dispositif trop cher. Alors, la fédération en a commandé un lot, ce qui a permis de bien baisser les prix.
Au bout de deux ans, sur les 10 appareils achetés, j'ai constaté qu'on a installé... deux !
En interrogeant les personnes concernées, j'ai entendu que c'était pénible, parce que l'avertisseur se mettait trop souvent à sonner...