Les instruments dont parle ulm mag, c'est pour un rétrofit. Si l'installation est d'origine, tu n'as pas à recompter les instruments.
Disons que pour une différence 1200 euros entre les 2 systèmes, il n'y a pas photos, ni en terme de puissance, ni en terme de fiabilité.
Le LAD est intéressant si on veut faire évoluer son 912S. Il tournera plus rond, consommation en légère baisse. C'est tout et c'est déjà pas mal. Mais tu resteras avec une conception de 20 ans. Rien à voir avec la modernité et la finition du 912iS.
M'enfin, ce que j'en dis !
Thierry
kawa1135 a écrit :Je reproduit ci-dessous un petit calcul trouvé sur Ulmag, du surcout moyen, engendré par le 912iS
Le Rotax 912 iS occasionne une augmentation notable de prix par rapport à son devancier : 19 722 euros ttc (environ) contre 15 400 euros, soit 4 300 euros de plus pour la version non certifiée ; 24 465 euros ttc contre 20 500 euros, soit presque 4 000 euros de plus pour la version certifiée. Il s'agit de tarifs bruts incluant les dispositifs minimum nécessaires au fonctionnement du moteur, sans échappement, durits, radiateurs, filtre à air, bâti, et sans instruments de contrôle. En cas de remplacement ou de choix à la commande d'un aéronef, il faut ajouter les instruments, qu'on évaluera à 1 800 euros ttc pour un EMS ordinaire, un pré-bâti à 500 €, et retrancher le prix d'un dispositif anti-givrage nécessaire sur le 912 ULS pour une équivalence fonctionnelle impartiale (750 euros). Soit un surcoût moyen de 1 550 € (valeur approximative servant de base de calcul). En valeur neuve et dans le cas d'un moteur non certifié, cela représente une dépense de 5 872 euros.
D'un autre coté, nous avons le système LAD à 2860 euros TTC, sauf évolution de prix, qui représente, je trouve, une alternative plus qu'intéressante pour
les inconditionnels Rotax, sachant par ailleurs que de ce prix, on pourra déduire le montant de la revente de toute la quincaillerie remplacée!