Les lois de l'aérodynamique ne sont peut être pas les mêmes pour tout le monde.
Par curiosité, j'ai relevé les surfaces alaires de plusieurs dizaines d'ULM dans une revue qui en faisait la liste. La plupart sont au dessus de 9 m², à de rares exception comme le MCR ULC (8,6m²) doté volets assez complexes qui sont décrits dans la publication 842 du NACA de 1945.
Si un appareil a une surface inférieure à cette valeur, il y a de fortes présomptions pour que la vitesse de décrochage ne soit pas au rendez vous.
Si la mesure le contredit, il faut suspecter le fonctionnement du pitot
