Le forum des ULM, et des ELA, LSA, VLA, et de tous les autres aéronefs biplaces et monoplaces légers

bonjour

en tant qu'entrepreneur j'ai plusieurs chantiers en
France et je suis fatigué de perdre mon temps en transports divers
puis-je acquérir un ulm en société pour mes déplacements professionnels ?
est-ce admis par notre "chère" administration fiscale ?
quelles incidences fiscales ?
a vous lire

oui mais passe le en 70% pro 30% perso, le contrôleur préférera

carnet de vol a jour, meme si pas obligatoire en ulm

facture de taxe attero, facture essence, facture entretien …

Bon vols 2014

PS: si tu amenes un collegue de travail, mentionne le dans ton carnet de vol et fait le signer

et vérifie avec ton assurance

Vérifie avant tout avec un spécialiste fiscaliste et ensuite avec l'administration fiscale afin d'avoir leur accord .

Bons vols,
Luciano

Il faudra surtout que tu puisse prouver que l'achat est bénéfique pour ta société.

et prévoies un autre moyen de transport en plus, parce que tu risques quand même un sacré paquet de fois de pas pouvoir repartir.... et faut surtout pas s'obstiner... quand çà passe pas, çà passe pas....

Pimprenelle a écrit :et prévoies un autre moyen de transport en plus, parce que tu risques quand même un sacré paquet de fois de pas pouvoir repartir.... et faut surtout pas s'obstiner... quand çà passe pas, çà passe pas....

Les vols "professionnels" en VFR... dans notre beau pays, n'est pas toujours ce qu'il y a de plus performant pour être à l'heure...
L'aviation légère est, et restera un moyen de transport rapide pour ceux qui ne sont pas pressés!

Patrick25 a écrit :Il faudra surtout que tu puisse prouver que l'achat est bénéfique pour ta société.

sauf à le passer en investissement, mais tu paies 20% de TVA que tu ne récupère pas, le fisc ne peut qu'être content et éventuellement se retourner contre toi, personne physique, pour avantages en nature.

en investissement il est très facile de justifier que tu diversifies les risques (le Nème sauvetage de l'euro, la Nème réunion de la dernière chance que sinon l'euroland il explose ma bonne dame, le Nème "stress test" que même DEXIA est une banque sûre mon bon monsieur, ou toutes autres vérités officielles vraies que c'est écrit dans le journal et qu'ils l'ont aussi dit à la télé)

fulm190711 a écrit :

Patrick25 a écrit :Il faudra surtout que tu puisse prouver que l'achat est bénéfique pour ta société.

sauf à le passer en investissement, mais tu paies 20% de TVA que tu ne récupère pas, le fisc ne peut qu'être content et éventuellement se retourner contre toi, personne physique, pour avantages en nature.

en investissement il est très facile de justifier que tu diversifies les risques (le Nème sauvetage de l'euro, la Nème réunion de la dernière chance que sinon l'euroland il explose ma bonne dame, le Nème "stress test" que même DEXIA est une banque sûre mon bon monsieur, ou toutes autres vérités officielles vraies que c'est écrit dans le journal et qu'ils l'ont aussi dit à la télé)

Fulm190711
je ne sais pas si je comprends bien ce que tu écris !
je crois comprendre que tu conseilles à l'entrepreneur d'expliquer au fisc qu'il investit dans un ULM pour éviter que la trésorerie de son entreprise ne s'effondre avec l'euro...
est-ce bien çà ?
Claude

Bine évidement tu achete la machine HT, et tu l'amortie suivant les regles comptable habituel ( durée de vie du produit ) mais encore une fois c'est limite-limite.

Claude51 a écrit :

fulm190711 a écrit : sauf à le passer en investissement, mais tu paies 20% de TVA que tu ne récupère pas, le fisc ne peut qu'être content et éventuellement se retourner contre toi, personne physique, pour avantages en nature.

en investissement il est très facile de justifier que tu diversifies les risques (le Nème sauvetage de l'euro, la Nème réunion de la dernière chance que sinon l'euroland il explose ma bonne dame, le Nème "stress test" que même DEXIA est une banque sûre mon bon monsieur, ou toutes autres vérités officielles vraies que c'est écrit dans le journal et qu'ils l'ont aussi dit à la télé)

Fulm190711
je ne sais pas si je comprends bien ce que tu écris !
je crois comprendre que tu conseilles à l'entrepreneur d'expliquer au fisc qu'il investit dans un ULM pour éviter que la trésorerie de son entreprise ne s'effondre avec l'euro...
est-ce bien çà ?
Claude

en effet : l'argument Weimar, étayé par les propos des responsables (sans compter la perte possible de la tréso au-delà de 100 kE en cas de défaillance bancaire). Ca ce plaide fort bien, dès lors que ça ne met pas en danger la société, donc pour une partie "raisonnable" de la tréso.

Patrick25 a écrit :Bine évidement tu achete la machine HT, et tu l'amortie suivant les regles comptable habituel ( durée de vie du produit ) mais encore une fois c'est limite-limite.

ce n'est possible que si la machine est bien un "outil" de travail, i.e. utile à la marche de la sté. Sinon ce sera la ligne investissement, mais sans pouvoir récupérer la TVA ni amortir.

Oui, on dit la même chose, il ne faut pas que ce soit la "danseuse" du patron.

fulm190711 a écrit :

Claude51 a écrit : Fulm190711
je ne sais pas si je comprends bien ce que tu écris !
je crois comprendre que tu conseilles à l'entrepreneur d'expliquer au fisc qu'il investit dans un ULM pour éviter que la trésorerie de son entreprise ne s'effondre avec l'euro...
est-ce bien çà ?
Claude

en effet : l'argument Weimar, étayé par les propos des responsables (sans compter la perte possible de la tréso au-delà de 100 kE en cas de défaillance bancaire). Ca ce plaide fort bien, dès lors que ça ne met pas en danger la société, donc pour une partie "raisonnable" de la tréso.

l'angle de tir me parait "osé" mais la faille exploitable, j'en parle à mon expert comptable dès janvier
merci à tous bonne année et bons vols