Aviation certifiée - allègement EASA
Publié : 10 nov. 2019, 09:34
Bonjour
je lis un article d'aviation et pilote qui me semble être prometteur pour l'avenir de l'aviation générale dans son ensemble, car allant dans le bon sens. En effet, l'EASA a écrit une General Aviation roadmap ouvrant la voie à une plus grande liberté des pilotes propriétaires "loisir" de l'aviation certifiée.
La part M pourrait se simplifier pour les avions, autorisant par exemple à monter certaines pièces sans EASA form 1 (type poignées de portes, caches intérieurs, etc.). Mais ce qui me parait intéressant, c'est que le pilote et son mécano pourraient surtout adapter le plan de maintenance à l'utilisation réelle de l'avion. En supprimant une TBO moteur par exemple, qui serait remplacée par une surveillance (analyse d'huile, consommation, inspection boroscopique, etc.).
De même, il y aurait un accès simplifié à une pratique IFR simplifiée (donc non qualifiée) sur la base d'une formation sans minimum horaire ni examen. Donc, ça me parait grandement inspiré de l'ULM, où l'on attribue une licence sans minima, mais uniquement basé sur la compétence du pilote.
Je trouve que ce serait génial parce que tout ce qui fait du bien à l'aviation de loisir profite aux deux mondes : certifié et non certifié.
Bref, ça donne le sourire de bon matin.
Bonne journée !
Lucas
je lis un article d'aviation et pilote qui me semble être prometteur pour l'avenir de l'aviation générale dans son ensemble, car allant dans le bon sens. En effet, l'EASA a écrit une General Aviation roadmap ouvrant la voie à une plus grande liberté des pilotes propriétaires "loisir" de l'aviation certifiée.
La part M pourrait se simplifier pour les avions, autorisant par exemple à monter certaines pièces sans EASA form 1 (type poignées de portes, caches intérieurs, etc.). Mais ce qui me parait intéressant, c'est que le pilote et son mécano pourraient surtout adapter le plan de maintenance à l'utilisation réelle de l'avion. En supprimant une TBO moteur par exemple, qui serait remplacée par une surveillance (analyse d'huile, consommation, inspection boroscopique, etc.).
De même, il y aurait un accès simplifié à une pratique IFR simplifiée (donc non qualifiée) sur la base d'une formation sans minimum horaire ni examen. Donc, ça me parait grandement inspiré de l'ULM, où l'on attribue une licence sans minima, mais uniquement basé sur la compétence du pilote.
Je trouve que ce serait génial parce que tout ce qui fait du bien à l'aviation de loisir profite aux deux mondes : certifié et non certifié.
Bref, ça donne le sourire de bon matin.
Bonne journée !
Lucas