Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
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- Luciano
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Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
En Suisse, çà se complique !
https://www.lematin.ch/suisse/combat-la ... y/28304224
Bons vols,
Luciano
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- Jodel F11
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Bonjour
https://www.magazineaviation.ca/saga-francais-lair/
Aprés avoir revendiqué au Quebec , que les communications peuvent se faire dans les deux langues officiels , Anglais, et Français, c'est force de loi .
C'est une des raisons que des vieux pilotes volaient avec des licence en bois pas capable de passer l'examen uniquement en anglais .
Comme si l'accés a la petite aviation Style Piper J3 ou champion 7AC jodel D11 était réservé uniquement a une pseudo élite anglophone .
Comme si savoir parler anglais ,ou écrire sans fautes était une critère pour piloter un petit avion .Il y en a qui s'enfle la tête par ce que il ont une licence de pilote , avec la mention Anglais ? on juste des opérateurs d'avions , avec un moteur de motoneige , avec qui ont partage les mêmes lacs en hiver .
Contrairement a ce que il avaient annoncé que c'était une source d'accident , depuis les années 80 que c'est en vigueur on n'as pas constaté plus d'accident a cause de l'usage du Français par les pilotes .
la résistance est venue des contrôleurs aérien unilingue anglophone qui devait apprendre le Français .
il vas de soit que un pilote professionnel qui voyage au USA et dans le reste du Canada la langue anglaise est utilisé.
mais je vois pas l'obligation a un pilote ULM ou petit Cessna 172 qui doivent faire ses communications exclusivement en anglais au Quebec encore moins sur des aérodromes auto information ou la majorité des pilotes parle Français et que même les avions NORDO peuvent opérer .
André
https://www.magazineaviation.ca/saga-francais-lair/
Aprés avoir revendiqué au Quebec , que les communications peuvent se faire dans les deux langues officiels , Anglais, et Français, c'est force de loi .
C'est une des raisons que des vieux pilotes volaient avec des licence en bois pas capable de passer l'examen uniquement en anglais .
Comme si l'accés a la petite aviation Style Piper J3 ou champion 7AC jodel D11 était réservé uniquement a une pseudo élite anglophone .
Comme si savoir parler anglais ,ou écrire sans fautes était une critère pour piloter un petit avion .Il y en a qui s'enfle la tête par ce que il ont une licence de pilote , avec la mention Anglais ? on juste des opérateurs d'avions , avec un moteur de motoneige , avec qui ont partage les mêmes lacs en hiver .
Contrairement a ce que il avaient annoncé que c'était une source d'accident , depuis les années 80 que c'est en vigueur on n'as pas constaté plus d'accident a cause de l'usage du Français par les pilotes .
la résistance est venue des contrôleurs aérien unilingue anglophone qui devait apprendre le Français .
il vas de soit que un pilote professionnel qui voyage au USA et dans le reste du Canada la langue anglaise est utilisé.
mais je vois pas l'obligation a un pilote ULM ou petit Cessna 172 qui doivent faire ses communications exclusivement en anglais au Quebec encore moins sur des aérodromes auto information ou la majorité des pilotes parle Français et que même les avions NORDO peuvent opérer .
André
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Obliger tout le monde à faire systématiquement la radio en Anglais partout créerait en effet des discriminations et des difficultés pour un grand nombre de pilotes, cela ne parait pas adapté. Néanmoins, donner à tous les bases minimales d'une phraséologie en anglais est un élément de sécurité, dans la mesure où d'autres appareils peuvent arriver en circuit sans parler français, en toute légalité.
J'ai été confronté à un cas typique en rentrant en planeur en fin d'après-midi, la piste réservée aux planeur était encombrée de plusieurs appareils qui venaient de se poser et j'étais donc contraint de poser sur l'autre piste, commune avions / planeurs, et évidemment prioritaire. Sauf qu'à ce moment là se présentait en longue finale après un circuit avion un monomoteur étranger, phraséologie en anglais. SI j'avais fait une radio en français en m'annonçant base planeur pour la piste avion, il n'aurait forcément rien compris. La compréhension de la phraséologie en langue anglaise m'a permis d'identifier le problème potentiel qui allait se présenter et d'expliquer au pilote que j'allais lui couper sa finale pour me poser en planeur sur la piste avion. Il a fait une remise de gaz, un tour de plus, et tout s'est passé de manière nominale, nous avions dégagé le planeur le temps qu'il revienne.
Aujourd'hui, quand un appareil arrive en anglais sur un aérodrome en auto-info (ce n'est pas toutes les dix minutes non plus), il me semble utile que les autres pilotes puissent comprendre a minima où il est et ce qu'il compte faire, voire pouvoir lui faire comprendre où sont les autres appareils en circuit par exemple. Sans imposer l'usage de l'anglais, favoriser cet apprentissage minimum de la phraséologie en anglais en circuit peut servir à rester en sécurité.
J'ai été confronté à un cas typique en rentrant en planeur en fin d'après-midi, la piste réservée aux planeur était encombrée de plusieurs appareils qui venaient de se poser et j'étais donc contraint de poser sur l'autre piste, commune avions / planeurs, et évidemment prioritaire. Sauf qu'à ce moment là se présentait en longue finale après un circuit avion un monomoteur étranger, phraséologie en anglais. SI j'avais fait une radio en français en m'annonçant base planeur pour la piste avion, il n'aurait forcément rien compris. La compréhension de la phraséologie en langue anglaise m'a permis d'identifier le problème potentiel qui allait se présenter et d'expliquer au pilote que j'allais lui couper sa finale pour me poser en planeur sur la piste avion. Il a fait une remise de gaz, un tour de plus, et tout s'est passé de manière nominale, nous avions dégagé le planeur le temps qu'il revienne.
Aujourd'hui, quand un appareil arrive en anglais sur un aérodrome en auto-info (ce n'est pas toutes les dix minutes non plus), il me semble utile que les autres pilotes puissent comprendre a minima où il est et ce qu'il compte faire, voire pouvoir lui faire comprendre où sont les autres appareils en circuit par exemple. Sans imposer l'usage de l'anglais, favoriser cet apprentissage minimum de la phraséologie en anglais en circuit peut servir à rester en sécurité.
- Marc B
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Assez d'accord avec jmlezcano.
Il ne faut pas en faire une montagne non plus. La base de la phraséologie en anglais, c'est 20 mots, 30 à tout casser.
En Belgique, on n'a pas le choix, déjà rien que pour activer un plan de vol après le décollage. Après 3 minutes de briefing, un débutant a compris ce qu'il doit dire, surtout que c'est toujours la même chose qui revient. Que le problème soit philosophique pour certain, je peux l'entendre, mais de là en faire un fromage, je pense que ça n'en vaut pas la peine. Il y a des trucs bien plus graves qu'on vous impose en français comme dire merci à Blackrock de vous piller vos pensions et vos assurances-vies
Il ne faut pas en faire une montagne non plus. La base de la phraséologie en anglais, c'est 20 mots, 30 à tout casser.
En Belgique, on n'a pas le choix, déjà rien que pour activer un plan de vol après le décollage. Après 3 minutes de briefing, un débutant a compris ce qu'il doit dire, surtout que c'est toujours la même chose qui revient. Que le problème soit philosophique pour certain, je peux l'entendre, mais de là en faire un fromage, je pense que ça n'en vaut pas la peine. Il y a des trucs bien plus graves qu'on vous impose en français comme dire merci à Blackrock de vous piller vos pensions et vos assurances-vies
- upwego
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Si tu penses qu'en Belgique il est possible de voler en sécurité sur un AD contrôlé en ne connaissant 30 mots ça craint.
Dialoguer efficacement avec un control en anglais demande un niveau d'usage courant de la langue.
Sinon, comment fait-on pour comprendre une consigne particulière autre que les infos routinières apprises par coeur.
Idem pour indiquer une situation paticulière.
Ceci dit, heureusement qu'une partie de la Belgique n'ait pas exigée le flamand et l'autre le wallon alors que vous parlez tous français, sauf quand vous volez en anglais... hello switzrlaaannd this is brouxel spiking form ultralight kraft flieger actuellement in your zone et pré à atérir !! Ch'arrive !!
Dialoguer efficacement avec un control en anglais demande un niveau d'usage courant de la langue.
Sinon, comment fait-on pour comprendre une consigne particulière autre que les infos routinières apprises par coeur.
Idem pour indiquer une situation paticulière.
Ceci dit, heureusement qu'une partie de la Belgique n'ait pas exigée le flamand et l'autre le wallon alors que vous parlez tous français, sauf quand vous volez en anglais... hello switzrlaaannd this is brouxel spiking form ultralight kraft flieger actuellement in your zone et pré à atérir !! Ch'arrive !!
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Upwego, tu n'y es pas. Personne ne dit qu'il suffit de connaître 30 mots pour maîtriser la phraséologie aéronautique en langue anglaise en toutes circonstances. Il existe des qualifications radios en langue anglaise, malgré la phraséologie standard, elles ne sont guère abordables pour un pilote qui n'aurait pas du tout appris l'anglais, car il faut être en mesure de gérer une diversité de situations et de comprendre rapidement ce qui se raconte sans faire trop répéter (ou bien il faut tomber sur des contrôleurs très cools, ce qui arrive parfois).
On parle au contraire de voler en utilisant une langue nationale, en l'occurrence le français, et de savoir appréhender certaines situations.
Si c'est un aérodrome contrôlé et qu'il y a un trafic qui arrive en anglais, c'est le contrôleur qui le prend en charge en anglais, les pilotes francophones n'ont pas besoin de comprendre, le contrôleur s'adresse à eux en français et gère la situation.
La situation se complexifie en termes de sécurité sur un aérodrome non contrôlé sur lequel tout le monde s'exprime en français, et sur lequel arrive un trafic en anglais. C'est là qu'un minimum de compréhension de phraséologie anglaise est utile à la sécurité.
On parle au contraire de voler en utilisant une langue nationale, en l'occurrence le français, et de savoir appréhender certaines situations.
Si c'est un aérodrome contrôlé et qu'il y a un trafic qui arrive en anglais, c'est le contrôleur qui le prend en charge en anglais, les pilotes francophones n'ont pas besoin de comprendre, le contrôleur s'adresse à eux en français et gère la situation.
La situation se complexifie en termes de sécurité sur un aérodrome non contrôlé sur lequel tout le monde s'exprime en français, et sur lequel arrive un trafic en anglais. C'est là qu'un minimum de compréhension de phraséologie anglaise est utile à la sécurité.
- Luciano
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Alors là, il faudrait revoir tes classiques et peut-être remballer tes prétentions de Pic de la Mirandole du forumupwego a écrit :... alors que vous parlez tous français, ...
( http://www.cosmovisions.com/Mirandole.htm)
Bons vols,
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Je pense aussi qu'Upwego n'a pas tout compris mais je n'ai aucune envie de blablater là-dessus.jmlezcano a écrit :Upwego, tu n'y es pas.
La situation se complexifie en termes de sécurité sur un aérodrome non contrôlé sur lequel tout le monde s'exprime en français, et sur lequel arrive un trafic en anglais. C'est là qu'un minimum de compréhension de phraséologie anglaise est utile à la sécurité.
Bien sûr, il s'agit bien de la situation que tu présentes.
Pour Upwego: je dois avoir traversé (pas vérifié) une quinzaine de pays avec un Fcl055 level 5 et ça aide pour voyager et je ne ferais pas sans cela.
Et en Belgique, le Level 5 est le minimum pour pouvoir te poser à Ostende par exemple. C'est écrit noir sur blanc sur la VAC, ça évite les charlots
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Tour à fait d'accord avec jmlezcano, toutefois :
Sans la qualif Anglaise je n'aurais pas l'autorisation de survol d'un pays étranger.
Si tu vas ne serait ce qu'à Jersey si tu ne parle pas bien la langue tu es refoulé d'autorité.
Je ne comprend pas pourquoi le pilote Anglais qui ne parle pas bien le Francais est autorisé à voler chez nous.
Bons vols à tous
Sans la qualif Anglaise je n'aurais pas l'autorisation de survol d'un pays étranger.
Si tu vas ne serait ce qu'à Jersey si tu ne parle pas bien la langue tu es refoulé d'autorité.
Je ne comprend pas pourquoi le pilote Anglais qui ne parle pas bien le Francais est autorisé à voler chez nous.
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
En Europe, il est possible de faire la radio dans la langue nationale du pays ou en anglais.
C'est la raison pour laquelle un Européen qui va dans un pays étranger dont il ne parle pas la langue fait la radio en anglais (et doit avoir une qualification adaptée). On ne peut pas demander à tous le monde de parler français, pas plus qu'italien, allemand, espagnol, polonais... Donc c'est normal qu'un étranger puisse faire la radio en anglais en France (mais pas facile pour lui et pour les autres sur un terrain non contrôlé).
La Suisse est un cas particulier évoqué au début du post.
C'est la raison pour laquelle un Européen qui va dans un pays étranger dont il ne parle pas la langue fait la radio en anglais (et doit avoir une qualification adaptée). On ne peut pas demander à tous le monde de parler français, pas plus qu'italien, allemand, espagnol, polonais... Donc c'est normal qu'un étranger puisse faire la radio en anglais en France (mais pas facile pour lui et pour les autres sur un terrain non contrôlé).
La Suisse est un cas particulier évoqué au début du post.
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Il ne me viendrait pas à l'idée d'aller me poser en Angleterre sans parler un mot d'anglais, je ne vois pas pourquoi on tolère qu'un pilote étranger se pose chez nous sans apprendre les 10 phrases qui lui permette de faire de l'auto-info en français.
C'est quand même aux locaux de s'adapter faut pas déconner non plus.
C'est quand même aux locaux de s'adapter faut pas déconner non plus.
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Ce n’est pas la conception de l’EASA. On peut aller en Italie en Allemagne en Espagne sans parler aucune de ces langues mais en maîtrisant bien la phraséologie en anglais. C’est un instrument de liberté et c’est tres bien que l’on puisse voyager sans parler toutes les langues. La réciproque est nécessairement vraie pour les étrangers.
- Marc B
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Une fois de plus, d'accord avec jmlezcano.
L'exemple de Lolo37 n'est pas tout à fait suffisant. Exemple, si je vole en Allemagne, je parle anglais car en allemand je suis une quiche. Et pourtant, je vole souvent chez eux et parfois avec avec des membres du forum d'ailleurs
Idem en italie, pays-Bas, Suède ... et toujours en anglais.
Il est donc logique que l'anglais, l'italien ou le norvégien ... attendent la réciprocité (en parlant anglais). Pour un non français (ce que je suis) cela semble tout à fait normal, car appliqué partout.
Et donc oui, ce sont les locaux qui s'adaptent. premièrement pour la sécurité et deuxièmement pour l'hospitalité
Marc
L'exemple de Lolo37 n'est pas tout à fait suffisant. Exemple, si je vole en Allemagne, je parle anglais car en allemand je suis une quiche. Et pourtant, je vole souvent chez eux et parfois avec avec des membres du forum d'ailleurs
Idem en italie, pays-Bas, Suède ... et toujours en anglais.
Il est donc logique que l'anglais, l'italien ou le norvégien ... attendent la réciprocité (en parlant anglais). Pour un non français (ce que je suis) cela semble tout à fait normal, car appliqué partout.
Et donc oui, ce sont les locaux qui s'adaptent. premièrement pour la sécurité et deuxièmement pour l'hospitalité
Marc
- upwego
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
Sauf erreur de ma part, l'article cite "l'obligation" d'utiliser l'anglais en Suisse, et non pas de la possibilité de le faire.
et donc l'interdiction d'utiliser le français, et le suisse à plus forte raison sur les AD suisse.
Je ne sais pas si tout le monde à compris la même chose ?
et donc l'interdiction d'utiliser le français, et le suisse à plus forte raison sur les AD suisse.
Je ne sais pas si tout le monde à compris la même chose ?
- Marc B
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Re: Evolution concernant l'utilisation de la langue aéronautique en Suisse
les suisses ont le même problème que les belges avec plusieurs langues nationales (nous en avons 3, ils en ont 4). Ils ne font que ce que nous avons toujours fait en Belgique.
Donc, personnellement, ça ne me choque pas du tout.
J'entends bien André dans son Québec et qui peut voler sur des milliers de km avant de croiser une frontière. Le problème est donc perçu différemment. Chez nous, après 20 minutes on passe une frontière avec des langues différentes. La situation est donc très différente et ce qui est vrai pour l'un n'a que très peu de sens pour l'autre
Donc, personnellement, ça ne me choque pas du tout.
J'entends bien André dans son Québec et qui peut voler sur des milliers de km avant de croiser une frontière. Le problème est donc perçu différemment. Chez nous, après 20 minutes on passe une frontière avec des langues différentes. La situation est donc très différente et ce qui est vrai pour l'un n'a que très peu de sens pour l'autre