À tout prendre, je préfère un ulm a aile basse, une verrière facile à ouvrir et un parachute, un Pioneer 200 en un mot !
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En effet, je pense également que les chances de survie sont bien meilleures avec un appareil équipé d'une aile basse, si toutefois l'amerrissage se fait en douceur.
Avec un appareil équipé d'une aile haute, la cabine sera instantanément immergée à l'arrivée dans l'eau.
Les portes n'étant pas largables, il sera impossible de les ouvrir tant que la pression int/ext ne sera pas équilibrée donc prévoir l'évacuation sous l'eau.
Pour un équipage non entraîné (la panique aidant) et compte tenu de l’exiguïté de nos cabine, je suis pessimiste quant à l'issue finale.
Pour m'être entraîné des dizaines de fois à évacuer des cabines d'hélicoptères immergées (de jour comme de nuit), je peux affirmer que ce n'est pas un sport de masse.
ce qui me choque c'est que une fois que l'avion a touché l'eau le parachute l'entraine par coté, l aile s'enfonce dans l'eau et l'avion se retourne. c'est hyper dangeureux imaginez qu'un passager n'ai pas eu le temps de se détacher ou tout simplement intimidé par l'évènement met du temps à sortir. à ce moment il sent l'avion partir sa va pas l'aider à reprendre son sang froid.
du coup je me la question d'un systeme de largage du parachute une fois l'avion posé ?
Où peut être renoncer au delà d'une certaine force de vent ?
Bons vols