Bonjour
serge5694 a écrit :Bonjour André, ravi de te voir sur ce forum.
dans un premier temps j'ai pensé que c'était la réponse 4. mais comme tous le monde à répondu la 4 et que j'ai un esprit de contradiction

j'ai repris ma copie. Quand on passe le théorique ULM c'est dans l'idée de piloté, et non pas de passer un diplôme de technicien monteur réparateur d'aéronefs. j'ai donc pensé qu'on parlais d'un ULM complet et non pas seulement de l'hélice. Si on parle de puissance (ou consommation d'essence) et de distance, le meilleur rendement sera quand l'appareil fera la plus grande distance avec le moins d'essence possible donc, distance/consommation = le grand possible. Ce qui peut aussi s'écrire traction/traine = le plus grand possible ou encore puissance/vitesse etc etc.
En dessous d'une certaine vitesse, la trainé augmente pour tenir en vol, le rapport traction/trainé n'est pas très favorable, idem pour les vitesses élever, il a bien une vitesse ou le rapport traction trainé est optimal, et cette vitesse correspond à un angle d'incidence de l'aile peu importe si l'hélice est bien adapté ou non, pour n'importe quel appareil donné, il y aura une vitesse ou la traction sur trainé sera optimale.
sur le manuel du pilote d'ulm il y a deux passages qui en fait sujet, je vous les citerais dès que mon fils rentrera d'Afrique ou il est parti avec son zilio.
cependant j'aimerais bien connaitre la réponse qui est donné au QCM, les instructeurs du club penche pour la réponses 4 Mais n'ont pu me donner avec certitude la vrais réponse.
On parle du rendement de l'hélice c'est dire la puissance fournie du moteur et la traction de l'hélice procure pour tirer l'avion
Avec une hélice a pas fixe , en montant,le rendement diminue, la trainée augmente, il se fait un certain glissement qui est plus visible avec une hélice de petit diametre que un grande. En croisière lorsque la trainée est a son minimum , petit angle d'attaque de l'aile , l'hélice bien adapté on arrive sur certaine hélice a ce l'avance de l'avion soit autour de 80% de la vitesse théorique du pas de l'hélice (certaines hélices le bout est étroit, pointu , ou vrillage accentué en bout de pale , afin d'avoir moins de pas , le bout de la pale devient transparent (un peu comme le vrillage des ailes des Jodel et de nombreux avions Cessna 150 172 ect..
En montée comme l'avion n'avance pas vite l'angle d'attaque de l'hélice et plus prononcé , en palier quand la vitesse augmente l'angle d'attaque de l'hélice diminue , en descente l'angle d'attaque de l'hélice devient transparent , en piqué l'angle d'attaque devient négative l'hélice entraine le moteur , c'est assez fort que cela démarre un Piper J3 autour de 180 kmh pour une hélice complétement arreté .
Si on compare une hélice a une transmission automatique d'auto , le couple hydraulique fait un certain glissement qui est au maximum, au départ qui reste plus important dans une côte , et relativement faible sur une route plate en vitesse économique .
Certains moteurs pour pouvoir tirer suffisament de puissance du moteur au décollage et en montée on pose une hélice de petit 1,70m diametre avec un grand pas (cas du Cessna 150 avec un 100hp Continental) d'autre moteur Continental 65 hp on peut poser une hélice de de grand diametre 1,88m
Un 912 100hp réducté est avantagé pour sortir sa puissance a l'hélice , un Continental 100hp ne rivalisera pas avec un 912 ..
l'incovéneant du réducteur cela prend une hélice légere pour que le réducteur résiste , une hélice métallique ne fonctionera pas .
vaste sujet qu'il faudra écrire dans un post spécifique ..
Note tu parle de Jean Zilio j'ai suivie mon cours de pilotage en même temps que lui même instructeur,
L'instructeur qui ma fait passer mont test en vol c'était Alfred Hammer de surnom Martello
André